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Montag, 10. Juni 2024
Gizeh 1924 – Blitz oder Schnecke?
Viele "Experten" sagen, dass die KFA einen sofortiger Erfolg bei Schi'iten und Sunniten gehabt habe.
Ich widerspreche:
noch 30 Jahre danach wurden in Ägypten die 522 Seiten von MNQ nachgedruckt,
noch 50 Jahre danach wurden in Syrien die 815 Seiten von BHO nachgedruckt – beide in osmanischer Rechtschreibung;
noch 60 Jahre später druckten Irāq und Nachbarn einen leicht überarbeiteten (etwa Nummern nach jedem Vers) muṣḥaf von Rušdī nach;
auch als Basistext zu Kommentaren dienten lange alte Ausgaben.
Erst nachdem Šamarli den Text der 1952er KFA auf 522 nachschreiben ließ,
erst nachdem die 525 Seiten des Azhar-Korans in der Rechtschreibung Q52 sich in Ägypten gut verkauft hatten
und ʿUṯmān Ṭaha diesen Text nach dem Vorbilde HOQz auf 604 Seiten nachgeschrieben hatte
und "überall" raubkopiert wurde,
siegte der Text aus Gizeh – wenn auch meist mit den neuen Pausen von 1952.
Alles richtig,
aber gleich nach der Erstausgabe gab es dies:
D.h. auch wenn der neue amtliche Koran in der Presse nicht beachtet wurde,
auch wenn er "ewig" brauchte, um sich durchzusetzen,
so gab es doch auch gleich Verleger in Kairo, die sich in der Schreibung an ihm orientierten.
Samstag, 4. Dezember 2021
les institutions derrière l'édition de 1924/5
Une dizaine d'institutions (de l'Etat) ont participé
à la production de l'édition 1924/5 :
le roi
le ministère d'éducation nationale (Sh. Qasr al-ʿAinī)
le collège pédagogique an-Nāṣīriyya (Sh. Qasr al-ʿAinī)
ٱلشـيخ المقأرِئ aš-šaiḫ al-maqāriʾ
l'imprimerie national the Government Press المطبعة الأميرية à Būlāq
l'office national de l'information géographique Egyptian General Survey Authority الهيئة المصرية العامة للمساحة à Gizeh
al-Azhar au Caire (al-Qāhira)
J'ai l'impression que l'initiative du projet d'un coran national ‒ l'Egypte proclama fin 1914 l'indépendance vis-à-vis de l'Empire Ottoman ‒ a été prise par le chef du département Arabe du ministère de l'éducation Abū Mālik Ḥifnī Bey ibn Muḥammad ibn Ismaʿīl ibn Ḫalīl Nāṣif (16.12.1855‒25.2.1919) et que les signatures de deux professeurs de la Nāṣīriyya (Aḥmad ibn ʿAlī ibn ʿUmar al-Iskandarī (1292‒1357/1875‒1938) and Muṣṭafā (al-)ʿInānī (d. 1362/ 1943)) ne symbolise que le poids de la sphère de l'éducation nationale ‒ et pas des madāris et de l'Azhar.
L'imprimerie nationale avait plusieurs fonctions : d'abord la composition du texte avec des types de plomb désignés par Muḥammad Ǧʿafar Bey (m. 1921).
Après l'impression offset à Gizeh, la reliure à Būlāq
et à la fin : la confirmation de l'absence d'erreurs dans le texte par son correcteur d'épreuves
avec le récitateur en chef al-Ḥusainī al-Ḥaddād al-Mālikī, avec les trois représentants de la sphère de l'éducation nationale et le šaiḫ al-ǧāmiʿ al-Azhar Muḥammad Abu'l Faḍl.
Pendant toute une année, on lisait sur le site internet du IDEO:
L'imprimerie gouvernementale et Ḥifnī Bey Nāṣif décidait que l'écriture devait être simple (sur la ligne de base, sans ligatures d'empilement, avec d'espace supplémentaire entre les mots) parce qu'ils voulaient que les étudiants des écoles modernes pouvaient lire le livre facilement. C'était d'ailleurs l'esprit de l'époque / le Zeitgeist. En 1907 l'imprimerie de Kazan utilisait moins de ligature que dans le siècle avant : On voit en bas que Būlāq avait plus de ligatures que sont utilisées dans le Muṣḥaf du Roi Fuʾād ‒ on voit aussi que le kasra était sous l'arc final du ḫāʾ (fin de la deuxième ligne)
Avant 1924 il y avait deux manières d'imprimer des maṣāḥif: la typographie (avec des caractères /types (mobiles, typographiques ou d'imprimerie) et la lithographie qui permettait la reproduction des manuscrits.
Pour le Muṣḥaf du Roi Fuʾād on a typographié le texte une fois, faisait des ajustements sur le papier et le reproduisait après. (Le muṣḥaf de Kaboul étai fait de la même technique.) cf. en anglais
Plus important étaient les décision de Muḥammad ibn ʿAlī ibn Ḫalaf al-Ḥusainī al-Ḥaddād al-Mālikī de ne pas adopter le rasm ottoman, ni celui de Dānī (comme il avait fait al-Muḫallalātī en 1309/1890), mais le rasm marocain habituel (qui est à peu près celui de Abū Dāʾūd Ibn an-Naǧāḥ).
En plus il adoptait
- les petites voyelles maghrébines de substitution pour allonger une voyelle quand il n'y pas de ḥarf al-madd dans le rasm
- les subdivisions maghrébines des trentièmes (mais sans huitième-ḥizb)
- les hamzat maghrébins de base devant Alif en début de mot (ءادم au lieu de اٰدم)
- que chaque alif au début d'un mots porte ou un hamza ou un waṣla
- la distinction maghrébine en trois sortes de tanwīn (superposé, successif, avec mīm)
- la graphie maghrébine en fin de sourate, qui suppose que la sourate suivante est prononcée immédiatement après (et sans basmala <-> à partir de 1952 avec basmala) : tanwīn est modifié en conséquence.
- l'absence maghrébine de nūn quṭni.
- qu'on ne note pas si un voyelle écrite est pronouncer court (pratique maghrébine)
La différenciation du sukūn maghrébin en trois signes était une nouveauté :
-- le ǧazm sous la forme d'un ǧīm sans queue/arc et sans point pour l'absence de voyelle,
-- le cercle pour "signe toujours à surligner",
-- le zéro pour "signe à surligner ici".
Pour les limites des aḥzāb il suivait al-Muḫallalātī et son propre Saʿādat ad-dāmin fī bayān wa-ʿadd,
les cinq signes de pause sont les siens - l'édition de 1952 gardait les signes, mais les placait fort différement.
Si je ne me trompe pas, aucune des observations de cette publication de blog n'a été faite pendant la conférence de l'IDEO - seul ʿAzīz Ḥilāl a fait des recherches pour sa contribution, les autres ne repetaient que des publications d'eux-mêmes ou d'autres.
addition janvier 1925:
le papier d'Asma Hilali peut être resumer dans une phrase: chez les orientalistes and orientalisants l'édition du Roi Fuʾād a remplace » le Fügel « .
à la production de l'édition 1924/5 :
le roi
le ministère d'éducation nationale (Sh. Qasr al-ʿAinī)
le collège pédagogique an-Nāṣīriyya (Sh. Qasr al-ʿAinī)
ٱلشـيخ المقأرِئ aš-šaiḫ al-maqāriʾ
l'imprimerie national the Government Press المطبعة الأميرية à Būlāq
l'office national de l'information géographique Egyptian General Survey Authority الهيئة المصرية العامة للمساحة à Gizeh
al-Azhar au Caire (al-Qāhira)
J'ai l'impression que l'initiative du projet d'un coran national ‒ l'Egypte proclama fin 1914 l'indépendance vis-à-vis de l'Empire Ottoman ‒ a été prise par le chef du département Arabe du ministère de l'éducation Abū Mālik Ḥifnī Bey ibn Muḥammad ibn Ismaʿīl ibn Ḫalīl Nāṣif (16.12.1855‒25.2.1919) et que les signatures de deux professeurs de la Nāṣīriyya (Aḥmad ibn ʿAlī ibn ʿUmar al-Iskandarī (1292‒1357/1875‒1938) and Muṣṭafā (al-)ʿInānī (d. 1362/ 1943)) ne symbolise que le poids de la sphère de l'éducation nationale ‒ et pas des madāris et de l'Azhar.
L'imprimerie nationale avait plusieurs fonctions : d'abord la composition du texte avec des types de plomb désignés par Muḥammad Ǧʿafar Bey (m. 1921).
Après l'impression offset à Gizeh, la reliure à Būlāq
et à la fin : la confirmation de l'absence d'erreurs dans le texte par son correcteur d'épreuves
avec le récitateur en chef al-Ḥusainī al-Ḥaddād al-Mālikī, avec les trois représentants de la sphère de l'éducation nationale et le šaiḫ al-ǧāmiʿ al-Azhar Muḥammad Abu'l Faḍl.
Pendant toute une année, on lisait sur le site internet du IDEO:
Le colloque propose une réflexion historique sur l’édition du Coran du Caire établie sous l’autorité du comité d’al-Azhar en 1924Et après la conférence "The Cairo Edition of the Qurʾān 1924" le directeur du IDEO Fr. Emmanuel Pisani déclarait :
Cet axe consiste dans un travail d’archives qui retrace la méthodologie du comité d’al-Azhar chargé de mettre en place l’édition du Caire de 1924.
Voulue par le roi Fuʾād, l’édition du Coran du Caire dite de 1924 a été établie sous l’autorité scientifique d’un comité d’al-Azhar. Elle s’est imposée dans l’ensemble du monde arabeJe pense qu'en 1924 al-Azhar n'avait qu'une autorité religieuse, pas scientifique. Comme je le vois, il y avait deux sortes de décisions :
L'imprimerie gouvernementale et Ḥifnī Bey Nāṣif décidait que l'écriture devait être simple (sur la ligne de base, sans ligatures d'empilement, avec d'espace supplémentaire entre les mots) parce qu'ils voulaient que les étudiants des écoles modernes pouvaient lire le livre facilement. C'était d'ailleurs l'esprit de l'époque / le Zeitgeist. En 1907 l'imprimerie de Kazan utilisait moins de ligature que dans le siècle avant : On voit en bas que Būlāq avait plus de ligatures que sont utilisées dans le Muṣḥaf du Roi Fuʾād ‒ on voit aussi que le kasra était sous l'arc final du ḫāʾ (fin de la deuxième ligne)
Avant 1924 il y avait deux manières d'imprimer des maṣāḥif: la typographie (avec des caractères /types (mobiles, typographiques ou d'imprimerie) et la lithographie qui permettait la reproduction des manuscrits.
Pour le Muṣḥaf du Roi Fuʾād on a typographié le texte une fois, faisait des ajustements sur le papier et le reproduisait après. (Le muṣḥaf de Kaboul étai fait de la même technique.) cf. en anglais
Plus important étaient les décision de Muḥammad ibn ʿAlī ibn Ḫalaf al-Ḥusainī al-Ḥaddād al-Mālikī de ne pas adopter le rasm ottoman, ni celui de Dānī (comme il avait fait al-Muḫallalātī en 1309/1890), mais le rasm marocain habituel (qui est à peu près celui de Abū Dāʾūd Ibn an-Naǧāḥ).
En plus il adoptait
- les petites voyelles maghrébines de substitution pour allonger une voyelle quand il n'y pas de ḥarf al-madd dans le rasm
- les subdivisions maghrébines des trentièmes (mais sans huitième-ḥizb)
- les hamzat maghrébins de base devant Alif en début de mot (ءادم au lieu de اٰدم)
- que chaque alif au début d'un mots porte ou un hamza ou un waṣla
- la distinction maghrébine en trois sortes de tanwīn (superposé, successif, avec mīm)
- la graphie maghrébine en fin de sourate, qui suppose que la sourate suivante est prononcée immédiatement après (et sans basmala <-> à partir de 1952 avec basmala) : tanwīn est modifié en conséquence.
- l'absence maghrébine de nūn quṭni.
- qu'on ne note pas si un voyelle écrite est pronouncer court (pratique maghrébine)
La différenciation du sukūn maghrébin en trois signes était une nouveauté :
-- le ǧazm sous la forme d'un ǧīm sans queue/arc et sans point pour l'absence de voyelle,
-- le cercle pour "signe toujours à surligner",
-- le zéro pour "signe à surligner ici".
Pour les limites des aḥzāb il suivait al-Muḫallalātī et son propre Saʿādat ad-dāmin fī bayān wa-ʿadd,
les cinq signes de pause sont les siens - l'édition de 1952 gardait les signes, mais les placait fort différement.
Si je ne me trompe pas, aucune des observations de cette publication de blog n'a été faite pendant la conférence de l'IDEO - seul ʿAzīz Ḥilāl a fait des recherches pour sa contribution, les autres ne repetaient que des publications d'eux-mêmes ou d'autres.
addition janvier 1925:
le papier d'Asma Hilali peut être resumer dans une phrase: chez les orientalistes and orientalisants l'édition du Roi Fuʾād a remplace » le Fügel « .
Donnerstag, 2. Mai 2019
Kabul 1352/1934
Der Gizeh-Druck von 1924 ist von Bedeutung,
‒ weil der den maghrebinischen rasm hat (im Großen wie Ibn Naǧāḥ),
‒ weil er die maghrebinischen Art, Langvokale zu schreiben, einführt
‒ die maghrebinische Art, Stummheit von Buchstaben zu bezeichen,
‒ die maghrebinische Art, Assimilation zu bezeichen,
‒ die maghrebinischen drei tanwīn-Zeichen einführt,
‒ die asiatischen zwei bis drei madd-Zeichen zu einem vereinfacht,
‒ weil er ein Nachwort hat
wie die Muxalallātī-Lithographie von 1890 ‒ auch wenn dieses
vorn eingebunden ist, beim Druck war es als NACHwort geplant,
wie viele indische/indonesische Drucke
vorn oder hinten Erläuterungen haben,
‒ weil er Wortabstand einführt,
die meisten Ligaturen verbannt und grundlinienorientiert ist,
‒ weil er den Text setzt, ein wenig umplatziert im Offset-Verfahren druckt.
Die ersten drei Punkte werden in Ägypten schnell, im Rest Ostarabiens allmählich übernommen.
Beim Wortabstand gibt es keine eindeutige Übernahme.
Šamarlī und der neue ʿUṯmān Ṭāhā haben nur minimalen,
die neuen türkischen dagegen übernehmen nur dies und die Grundlinienorientierung.
Typensatz + Offset-Druck übernimmt ein muṣḥaf,
der weitgehend unbeachtet geblieben ist:
Der Kabuler Druck von 1352/1934
Gizeh 1924 und Kabul 1934 nebeneinander.






Sonntag, 10. März 2019
1924 nicht der Standard, aber einer?
Die Professoren schreiben von einander ab: der 1924er sei der Standard.
Außenseiter, wie A.A. Brocket, A.I. Mohr und meine Wenigkeit halten dagegen: Nicht Standard.
Versöhnler könnten sagen: Okay, Türken, Inder, Indonesier und Afrikaner (80% der Muslime) haben nichts
damit am Hut, aber er ist doch immerhin ein Standard.
Pustekuchen.
‒ Der 1952er unterscheidet sich an über 900 Stellen vom 1924er.
‒ Die Saʿudis haben das Pausenzeichen لا abgeschafft,
haben im Nachwort ein meistens/ġāliban eingefügt.
haben das hamzaʾ in 2:72 aufgebockt (was ich sonst nur bei tunesichen Qālūn-Ausgaben gesehen habe).
haben in 73:20 ein (stummes) nūn (wieder) hinzugefügt.
haben in 2:264 in riʾāʾa das erste hamzaʾ statt auf den Zahn hinter den Zahn gesetzt (wohl eine berechtigte Korrektur)
‒ Die Qaṭarīs haben in 56:2 ein Alif rausgeworfen.
‒ erst nachdem ʿUṭmān Tāhā die osmanische Aufteilung auf 604 Seiten mit
dem marokkanischen rasm,
der Grundlinienorientierung und
den Zusatzzeichen von 1952 kombinierte,
setzte sich diese Kombination durch.
Man kann nicht sagen,
1924 sei der Standardkoran auf uns herabgekommen,
weil heute die meisten Araber diesem
irgendwie folgten.
Bis in die 1960er wurde in Syrien Hafis Osman nachgedruckt,
der iraqische Staatskoran von 1951, der weitgehend osmanisch ist
‒ kein Nacheinander-tanwīn hat, Assimilation nicht durch
Verdopplungszeichen beim zweiten Buchstaben, nicht die
ägyptischen Pausen (weder die von 1924, noch die heutigen),
keinen Stummkreis, sondern die osmanischen Anweisungen ‒
wurde 1978, 1970, 1980 für Saʿudia, Qaṭar, Jordanien und ʿIrāq nachgedruckt.
Selbst heute gibt der Staat ‒ ad-dīwān al-auqāf as-sunnī ‒ neben einem UT-artigen
einen Reprint eines nicht-604-berkenar-seitigen muṣḥaf des 1920
verstorbenen osmanischen Kalligraphen Ḥasan Riḍā heraus. Wenn 1924
den arabischen Standard hervorgebracht hätte, wäre das unmöglich.
Auch der jemenitische Staatskoran spricht dagegen.
Dass alle Maghreb-Staaten dagegenhalten, versteht sich.
Dort laufen nur Salafisten und Schiʿiten mit einem UT herum.

Samstag, 8. Dezember 2018
der 1924er, Gizeh
Der Gizeh-Koran
‒ ist kein Azhar-Koran
‒ hat keine Welle von Korandrucken ausgelöst,
weil es endlich einen festen, autorisierten Text gab
‒ wurde nicht umgehend der von Sunniten und Schiʿiten akzeptierte Koran
‒ trug nicht wesentlich zur Verbreitung der Lesung Ḥafṣ bei,
er wurde weder 1923 noch am 10.7.1924 veröffentlicht.
Doch er vertrieb die grottenschlechte Gustav-Flügel-Ausgabe aus deutschen Studierstuben,
‒ hatte ein Nachwort namentlich genannter Herausgeber,
‒ gab darin seine Quellen an,
‒ übernahm ‒ außer der kufischen Zählung,
und den Pausenzeichen, die auf östlichen Quellen fußten
‒ den maghrebinischen rasm (weitgehend nach Abū Dāʾūd Ibn Naǧāḥ)
‒ die maghrebischen kleinen Ersatzvokale zur Längung
‒ die maghrebischen Schreibung von führendem Alif/hamza+Vokal am Wortanfang mit einem Hamza-Zeichen auf oder unter dem Alif,
während Asien auf das Alif nur ein Vokalzeichen setzt;
‒ die maghrebischen Schreibung von Alif-waṣl mit einem waṣl-Zeichen während in diesem fall in Asien nichts stehr, wodurch das Alif/hamza stumm ist
(im Gizeh-Koran haben ḥurūf al-madd kein sukūn wie in Asien, außer sie sind Teil eines Diphtongs, nicht bloß längend)
‒ die maghrebischen Unterteilung der Dreißigstel (jedoch ohne Achtel-ḥizb)
‒ die maghrebischen Grundlinienhamzae vor Alif am Wortanfang (ءادم statt اٰدم).
‒ die maghrebischen Falschschreibung von /allāh/ als /allah/
‒ die maghrebische Schreibung am Surenende, die davon ausgeht, dass unmittelbar danach die nächste Sure gesprochen wird (und zwar ohne Basmala): tanwin wird dann tanmīm
‒ die maghrebischen Unterscheidung in drei Sorten tanwin (übereinander, nacheinander, mit mīm)
‒ die maghrebischen Abwesenheit von nūn quṭni.
‒ die maghrebischen Nicht-Schreibung der Vokalkürzung
‒ das maghrebisch (und indische) Herunterziehen des hmaza-Zeichens durch kasra
nach G24 zieht kasra das Hamza runter, während es im Osmanischen und Persischen oben bleibt.
‒ die maghrebische Schreibung der Assimilation
während in Osm die Assimilation nicht notiert wird
(in den drei osmanischen Beispielen (Muḥ. ʾAmīn ar-Rušdī, Ḥasan Riḍā, Muṣṭafa Naẓīf Qadirġalī) bekommt der assimilierte Buchstaben
ein Sukūn, in G24 wie in den Warš-Ausgaben darunter (Fez, Algiers) bekommt der assimierende Buchstabe ein šadda, der assimiiierte nichts.
Neu war die Differenzierung des maghrebischen Sukūn in drei Zeichen:
‒ das ǧazm in Form eines ǧīms ohne Schwanz und ohne Punkt für Vokallosigkeit,
‒ den Kreis für „immer zu überlesend“,
‒ die Null für „hier zu überlesend“.
‒ plus der Abwesenheit jedes Zeichen für Nicht-zu-Sprechend, da assimiliert.
Ferner Wortabstand,
Grundlinienorientierung und
exakte Platzierung von Punkten und Strichen.
Offset brachte gegenüber Typendruck das Höher-Setzen von kasras:
Statt unter den Buchstaben sind sie unter dem Kernbuchstaben: auf Höhe der Unterlinien (م ) und Schwänzen (ح ع س ص ـهـ ل ي ).
Dazu wird ein Bürstenabzug der gesetzten Seite gemacht. Dann werden die kasras rausgeschnitten und etwas höher geklebt:
so tief wie م oder in den Schwanz von ح ع .
Wenn wenn es vorher (etwa 1888 in Delhi) Drucke mit Nummern nach jedem Vers gab,
so hat er wohl zur Verbreitung dieser Praxis beigetragen.
Er war auch nicht der erste "innermuslimische Korandruck".
Neuwirth mag sich mit dem Koran auskennen, von Korandrucken hat sie null Ahnung,
denn seit 1830 gab es viele, seit 1875 sehr, sehr viel Korandrucke von Muslimen
und schon an den sechs St.Petersburger Drucken von 1787-98 waren Muslime stark beteiligt.
Ein Typendruck war es auch nicht, sondern ‒ wie alle außer Venedig, Hamburg, Padua, Leipzig,
St.Petersburg, Kazan, zweien in Tehrān (mit den gleichen Typen), zweien in Hooghli, zweien in Calcutta und einem in Kanpur
‒ Flachdruck, wenn auch nicht mehr mit Steinplatte, sondern Metallplatte.
Es war auch nicht der erste, der von sich sagte, „den rasm al-ʿUṯmānī“ wiederzugeben.
Zwei Titelseiten von Lucknow-Drucken von 1870 und 1877.
1895 erschien in Būlāq ein Koran im ʿuṯmānischen rasm, was vielleicht „unvokalisiert“ bedeutete.
Kitāb Tāj at-tafāsīr li-kalām al-malik al-kabīr taʼlīf Muḥammad ʿUṯmān ibn as-Saiyid
Muḥammad Abī Bakr ibn as-Saiyid ʻAbdAllāh al-Mīrġanī al-Maḥǧūb al-Makkī.
Wa-bi-hāmišihi al-Qurʼān al-Maǧīd marsūman bi’r-rasm al-ʿUṯmānī.
Bis auf die Folge IsoHamza+Alif, die 1890 und 1924 aus dem Maghreb übernommen wurde (alif+madda ging ja nicht, da madda zur Längung schon vergeben war) ist hier schon alles so wie 1924.
Der Text der KFA ist übrigens keine Rekonstruktion, was Bergsträßer Muḥammad ibn ʿAlī ibn Ḫalaf al-Ḥusainī al-Mālikī aṣ-Ṣaʿīdī al-Ḥaddād einfach geglaubt hat: Er folgt nicht genau
Abū Dāʾūd Sulaiman Ibn Naǧāḥ al-Andalusī (gest. 496/1103)
und auch nicht Abu ʿAbdallah Muḥammad ibn Muḥammad al-Ḫarrāz (gest. 718/1318),
sondern (außer an etwa 100 Stellen) den gängigen Warš-Ausgaben.
Auch die Übernahme vieler marokkanischer Besonderheiten (siehe oben),
die teils 1952 revidiert wurden, plus dem Fallen-Lassen von asiatischen Zeichen ‒ plus der Tatsache, dass das Nachwort zu Beidem schweigt ‒ ist ein klares Zeichen dafür,
dass al-Ḥusainī al-Ḥaddād al-Mālikī eine Warš-Ausgabe adaptierte
‒ d.h. deren Schreibung (ent-waršet) übernahm, nicht ihr layout.
Alle ägyptischen Leser kannten die Lesungen Warš und Qālun.
Als Malikī kannte al-Ḥusainī al-Ḥaddād vermutlich Warš-Ausgaben
noch besser als die meisten.
Es gab den angeblich 1924 etablierten Text nicht nur im Maghreb und
in Kairiner Warš-Drucken, sondern auch schon in Būlāq gesetzt im Jahrhundert davor.
Nun zum Erscheinungsdatum.
Man findet 1919, 1923, 1924 und 1926 in Bibliotheken und bei Gelehrten.
Nach heutigen bibliothekarischen Regeln gilt 1924, weil das steht im Erstdruck
Es stimmt aber nicht. Es steht nämlich in dem Werke selbst, dass sein Druck am 10.7.1924 abgeschlossen worden sei. Das kann aber nur bedeuten, dass an diesem Tag der Druck des qurʾānische Textes abgeschlossen worden war. Die Widmung für den König, die Nachricht über den Abschluss des Druckes kann erst danach gesetzt worden sein; sie und das gesamte Nachwort wurden erst danach gedruckt, und das Werk ‒ ohne Titelseite, ohne Gebet zum Abschluss ‒ wurde erst danach ‒ wohl wieder in Būlāq, wo schon gesetzt und montiert worden war ‒ gebunden ‒ und das war erst 1925, es sei denn man hat erstmal zehn Exemplare gebunden und die dann "veröffentlicht", was nicht wahrscheinlich ist.
Weil in Wikipedia Fuʾāds Königsmonogramm als das seines Sohnes ausgegeben wird,
hier seins (wenn auch völlig belanglos):
Donnerstag, 6. Dezember 2018
Die König-Fuʾād-Ausgabe
Seit 1972 in einem zugemauerten Dachboden der Großen Moschee von Ṣanʿāʾ Tausende sehr alter Koranfragmente entdeckt wurden, genauer seit 2004 Sergio Noga Noseda hochaufgelöste Farbphotographien herstellen durfte, seit Wissenschaftler erkannt haben, dass Blätter, die in bis zu sieben verschiedenen Sammlungen aufbewahrt werden, zusammen gehören und man diese ‒ dank online- bzw. Druck-Publikationen ‒ studieren kann, seit man Tausende in Stein geritzte Kurztexte aus Syrien, Jordanien und Sa'udi-Arabien (immer besser) lesen kann, ist die Erforschung der arabischen Sprache und Schrift der Jahrhunderte unmittelbar vor und nach Muḥammad der aufregendste Teil der Islamkunde.
Seit der Zerstörung der Zwillingstürme in Manhattan sind Überlegungen über den Islam als spätantike Zivilisation und/oder mit Judentum und Christentum verwandte Religion besonders beliebt.
Leider äußern sich die ExpertInnen auf diesen interessanten Gebieten auch zu einem Thema, das sie nicht studiert haben ‒ weil nicht interessant genug ‒ und schreiben dazu fast nur Unsinn.
Auf dem Gebiet der gedruckten Koran-Ausgaben muss aufgeräumt werden. Und das will ich hier tun.
Viele deutsche Orientalisten bezeichnenden den amtlichen ägyptischen Koran von 1924/5 als „den Standardkoran“, andere nennen ihn „Azharkoran“.
Über die König-Fuʾād-Ausgabe, den Gizeh-Koran, den Vermessungsamt-Druck (المصحف الشريف لطبعة مصلحة المساحة المصرية), dem 12-Zeiler (مصحف 12 سطر), zirkulieren viele falsche Ideen. Einige glauben, eine Handschrift vor Augen zu haben.
Typendruck ist ein Hochdruckverfahren. Die Typen hinterlassen auf dem Papier kleine Vertiefungen: drücken die Druckerschwärze in das Papier. Offset ist ein Flachdruck-Verfahren, bei dem das Papier die Farbe aufsaugt; Vertiefungen kann man nicht finden. Mit den Augen sah Mohr, dass es nicht handgeschrieben war. Dass man aber Typendrucke nur mit dem Tastsinn (nicht dem Gesicht) erkennen kann, weiß er nicht. Und Prof. Dr. Murks auch nicht. „Das ist doch Unsinn, statt aufwändig zu setzen und das EINmal zu drucken, kann man doch besser einen Kalligraphen schreiben lassen.“ Das verkennt den technoiden Genauigkeitssinn der Herausgeber von 1924. Bis heute gibt es außer ʿUṯmān Ṭaha (UT) niemanden, der so genau ist wie der Setzkasten oder der Computer. Zwei Beispiele zu Veranschaulichung.

Während bei UT klar yanhā zu lesen ist, steht in der wunderschönen osmanischen Handschrift naihā; während die drei Vokalzeichen (fatḥa, sukūn, Lang-ā) klar in der richtigen Reihenfolge stehen (es geht ja nicht anders, sie stehen ja alle oben), steht nūn (vielleicht) vor yāʾ (kommt der nūn-Punkt vor den yāʾ-Punkten). Übrigens haben die beiden „Zahn“-Buchstaben bei UT einen Zahn oder Stachel, aber keinen im Hof-Osmanischen! Während es bei UT zwischen heh (ich benutze den Unicode-Namen zur deutlichen Unterscheidung von ḥāʾ) und alif maqṣūra klar nichts gibt, könnte da im osmanischen durchaus ein Zahn sein: Man brauchte nur zwei Punkte darüberzusetzen und es wäre hetā oder so. Zweites Beispiel: wa-malāʾikatihī Während im amtlichen Koran (unten) und bei UT (Mitte) VOR dem Zahn über der Grundlinie ein Ersatzalif-mit-madda schwebt, schwebt im Muṣḥaf Qaṭar (oben) unter der Grundlinie ein hamza-kasra NACH Wandel-Alif mit madda, das den yāʾ-Zahn in ein (dehnendes) Alif wandelt. Das ist nicht schlimm (Klang und rasm sind ja gleich), ist aber eine andere Orthographie und darf nach der Vorstellung von Menschen, die im Koran kein Ungefähr dulden, nicht sein. Nun die ganze Seite 3 im Vergleich. Gizeh-Druck und UT: die Amiriya ist kalligraphischer als UT, was man an den Beispielen am rechten Rand erkennt. Alles in allem folgt UT der Vorgabe. Grundlinie und klares von rechts nach links. Nur beim Abstand zwischen Wörtern ist er weniger modern als die Amiriyya (weshalb Dar al-Maʿrifa den Abstand vergrößert hat).
Seit der Zerstörung der Zwillingstürme in Manhattan sind Überlegungen über den Islam als spätantike Zivilisation und/oder mit Judentum und Christentum verwandte Religion besonders beliebt.
Leider äußern sich die ExpertInnen auf diesen interessanten Gebieten auch zu einem Thema, das sie nicht studiert haben ‒ weil nicht interessant genug ‒ und schreiben dazu fast nur Unsinn.
Auf dem Gebiet der gedruckten Koran-Ausgaben muss aufgeräumt werden. Und das will ich hier tun.
Viele deutsche Orientalisten bezeichnenden den amtlichen ägyptischen Koran von 1924/5 als „den Standardkoran“, andere nennen ihn „Azharkoran“.
Über die König-Fuʾād-Ausgabe, den Gizeh-Koran, den Vermessungsamt-Druck (المصحف الشريف لطبعة مصلحة المساحة المصرية), dem 12-Zeiler (مصحف 12 سطر), zirkulieren viele falsche Ideen. Einige glauben, eine Handschrift vor Augen zu haben.
Nachtrag 2025: So kürzlich Asma Hilali in einem dem 1924er Koran gewidmeten Sonderheft der Zeitschrift der Kairiner Dominikaner MIDEO: « Muḥammad ʿAbd al-ʿAzīz al-Rifāʿī (m. 1936) éta[i]t le calligraphe [et l'éditeur] du Coran du Roi Fuʾād. »Andreas Ismail Mohr und Prof. Dr. Murks nennen die Ausgabe „Typendruck“. Dabei macht das Nachwort ‒ von 1926 bis 1951 noch deutlicher als 1924/5 und seit 1952 ‒ alles klar. Die von Ägyptens šaiḫ al-maqāriʾ Muḥammad ibn ʿAlī ibn Ḫalaf al-Ḥusainī al-Mālikī aṣ-Ṣaʿīdī al-Ḥaddād (1282/1865‒1357/ 22.1.1939) ‒ nicht zu verwechseln mit dem Kalligraphen Muḥammad ibn Saʿd ibn Ibrāhīm al-Ḥaddād (1919‒2011) ‒ geschriebene Textvorlage wurde in Būlāq mit fünf Etagen je Zeile gesetzt (Pausenzeichen; fatḥa, damma, sukūn; Buchstaben [bei Grundlinien-hamza inkl. des Vokalzeichens]; kasra; Abstand). Daraus wurden im Vermessungsamt ‒ wo man mit dem Drucken von Landkarten schon Offset-Erfahrung hatte ‒ Druckplatten. Dort wurde auch gedruckt.
Typendruck ist ein Hochdruckverfahren. Die Typen hinterlassen auf dem Papier kleine Vertiefungen: drücken die Druckerschwärze in das Papier. Offset ist ein Flachdruck-Verfahren, bei dem das Papier die Farbe aufsaugt; Vertiefungen kann man nicht finden. Mit den Augen sah Mohr, dass es nicht handgeschrieben war. Dass man aber Typendrucke nur mit dem Tastsinn (nicht dem Gesicht) erkennen kann, weiß er nicht. Und Prof. Dr. Murks auch nicht. „Das ist doch Unsinn, statt aufwändig zu setzen und das EINmal zu drucken, kann man doch besser einen Kalligraphen schreiben lassen.“ Das verkennt den technoiden Genauigkeitssinn der Herausgeber von 1924. Bis heute gibt es außer ʿUṯmān Ṭaha (UT) niemanden, der so genau ist wie der Setzkasten oder der Computer. Zwei Beispiele zu Veranschaulichung.

Während bei UT klar yanhā zu lesen ist, steht in der wunderschönen osmanischen Handschrift naihā; während die drei Vokalzeichen (fatḥa, sukūn, Lang-ā) klar in der richtigen Reihenfolge stehen (es geht ja nicht anders, sie stehen ja alle oben), steht nūn (vielleicht) vor yāʾ (kommt der nūn-Punkt vor den yāʾ-Punkten). Übrigens haben die beiden „Zahn“-Buchstaben bei UT einen Zahn oder Stachel, aber keinen im Hof-Osmanischen! Während es bei UT zwischen heh (ich benutze den Unicode-Namen zur deutlichen Unterscheidung von ḥāʾ) und alif maqṣūra klar nichts gibt, könnte da im osmanischen durchaus ein Zahn sein: Man brauchte nur zwei Punkte darüberzusetzen und es wäre hetā oder so. Zweites Beispiel: wa-malāʾikatihī Während im amtlichen Koran (unten) und bei UT (Mitte) VOR dem Zahn über der Grundlinie ein Ersatzalif-mit-madda schwebt, schwebt im Muṣḥaf Qaṭar (oben) unter der Grundlinie ein hamza-kasra NACH Wandel-Alif mit madda, das den yāʾ-Zahn in ein (dehnendes) Alif wandelt. Das ist nicht schlimm (Klang und rasm sind ja gleich), ist aber eine andere Orthographie und darf nach der Vorstellung von Menschen, die im Koran kein Ungefähr dulden, nicht sein. Nun die ganze Seite 3 im Vergleich. Gizeh-Druck und UT: die Amiriya ist kalligraphischer als UT, was man an den Beispielen am rechten Rand erkennt. Alles in allem folgt UT der Vorgabe. Grundlinie und klares von rechts nach links. Nur beim Abstand zwischen Wörtern ist er weniger modern als die Amiriyya (weshalb Dar al-Maʿrifa den Abstand vergrößert hat).

Ebenfalls von Seite 3 Vergleich von Muṣḥaf Qaṭar und UT. Im ersten und letzten Beispiel setzt Abū ʿUmar ʿUbaidah Muḥammad Saliḥ al-Banki die yāʾ-Punkte nicht GENAU unter den Zahn (im ersten Fall wegen des nahen nūn, im zweiten Fall aus Nachlässigkeit). Drei Fälle zeigen Zahn-Buchstaben ohne Zahn. Und ein Knuddel-mīm, was dessen Vokalzeichen (für moderne Leser) falsch sitzen lässt: das mīm steht rechts vom lām, das mīm-Vokalzeichen steht aber links, weil das mīm nach dem lām zu sprechen ist. Es steht also zu Recht „falsch“.
Bevor ich aufhöre (für Heute): ein Stadtplan von Kairo 1920, auf dem ich die Amīriyya und das Grundbuchamt mit Pfeilen in Nil gekennzeichnet habe, außerdem Midan Tahrir und die Stelle, wo neuerdings die Regierungsdruckerei ist. Ferner das Erziehungsministerium und die Nāṣirīya, wo drei der Herausgeber tätig waren.
Alles rechts des Nils plus den Inseln ist Kairo, alles links davon (Imbaba, Doqqi, Gizeh) gehört nicht nur nicht zur Stadt Kairo, sondern liegt in einer anderen Provinz.
Wichtig: Setzerei und Offset-Werkstatt waren mit Auto, Straßenbahn und Boot gut verbunden. Die montierten Seiten hatten keinen weiten Weg.
Die beiden arabischen Texte sind die Druckvermerke von 1924 und 1952, beide aus den Exemplaren der Preußischen Staatsbibliothek, die fünf Ausgaben besitzt.
Und hier die allerletzte (unpagnierte) Seite des Urdruck.


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